Personnes LGBTQI2S+
La présence des personnes âgés de 50 ans et plus en situation d'itinérance est en croissance dans les rues de Montréal. Elles représentent 41% de la population totale des itinérants et 49 % des usagers des refuges (Latimer et al., 2015).
Le rapport Bilan-Faim 2016 des regroupements des Moissons fait état d'une augmentation des personnes aidées. Elles sont au nombre de 171 800 par mois, dont 59 187 enfants. Depuis 2008, les demandes de services ont augmenté de 34%. Montréal compte le plus grand nombre d'utilisateurs.
Statistique Canada dresse un état de l'itinérance cachée au Canada, c'est-à-dire les personnes qui ont vécu temporairement avec des proches ou dans leur voiture ou n’importe où ailleurs, car elles n’avaient nulle part où aller. En 2014, 2.3 millions de Canadiens disent avoir vécu cette situation.
Les jeunes de 13 à 24 ans forment 20% de la population des personnes en situation d'itinérance au Canada. La première étude sur l'itinérance des jeunes au Canada vient d'être publiée par le Rond-Point de l'itinérance.
Cet article est tiré d'une étude faite par Cynthia Lewis pour le MMFIM, à l'été 2015. Les défis de l'expérience migratoire Chez les femmes immigrantes, les facteurs de fragilisation sont [...]
Cet article est tiré d'une étude faite par Cynthia Lewis pour le MMFIM, à l'été 2015. Des programmes adaptés, des politiques sociales et économiques Malgré l’efficacité du modèle « Logement d’abord », [...]
Tiré d’une étude faite par Cynthia Lewis pour le MMFIM à l’été 2015, cet article est le troisième d’une série qui porte sur les femmes en situation d’itinérance. « [...]
Cet article est tiré d'une étude faite par Cynthia Lewis pour le MMFIM, à l'été 2015. L'itinérance cachée « On dort ailleurs. À gauche, à droite. Chez des amis. Où vous [...]
Cet article est tiré d'une étude faite par Cynthia Lewis pour le MMFIM, à l'été 2015. Les facteurs de fragilisation « À Montréal, c'est impossible de vivre dans la rue si [...]